Lorsque j’ai découvert Avatar soulevaient avec émotion et renouveau de véritables questions éthiques, Mickey 17 ne fait que vulgairement montrer au public une idée déjà maintes fois ressassée, à savoir : « l’espèce humaine est vraiment, vraiment mauvaise ». La direction d’acteurs laissait également à désirer, me donnant l’étrange impression d’assister à un produit calibré pour Netflix. Quant aux dialogues, ils semblaient tout droit sortis d’un premier jet, rédigé dans la précipitation et sans aucune profondeur. Malgré une idée de base intéressante, le déroulement s’avérait finalement grotesque et truffé d’invraisemblances, ce qui surprend de la part d’un réalisateur de cette envergure (avec un budget de 118M $ en poche). J’ai dû par ailleurs fermer les yeux à plusieurs reprises, instinctivement, face à certains ages véritablement écœurants. Je trouve que ces dernières années, les productions cinématographiques tournent de plus en plus au vinaigre. À croire qu’une sorte de gang de cinéastes s’acharne à saboter tout ce qui avait été patiemment édifié et qui faisait jadis la beauté, l’élégance et la finesse du Septième Art !
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Défi 365 films en 1 an - Année 2025
Créée
le 6 mars 2025
Modifiée
le 21 mars 2025
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