Y'a des gens bleus, des fées, des princesses, des robes couleur du temps, dans un univers que l'on croirait sorti tout droit du cerveau d'un styliste pédé sous acide à San Francisco dans les années 70 entre deux séances de Bondage avec Michel Foucault.
Les chansons sont merveilleusement inchantables.
Catherine Deneuve vous fait un gâteau en rimes riches dans une robe à vingt mille briques.
Jean Marais y est dément en roi à tendance pédophile tentant de sauver son reliquat de virilité dans des tenues que même Lady Gaga hésiterait à porter.
Bref, à voir, ça vous économise l'achat de drogues.