Critiques de L'Aîné des Ferchaux

Jean-Pierre Melville retrouve Belmondo pour la troisième et dernière fois avec cette adaptation du roman de Georges Simeon, d'abord prévu par Jean Valère avec Alain Delon mais ce dernier préférant...

Dans la filmographie de Melville, "L'ainé des Ferchaux" (1963) se situe entre "le Doulos" (1962) et "le deuxième souffle" (1966). C'est un film noir inspiré d'un roman de Simenon que je ne connais...

Après Léon Morin prêtre et Le Doulos, Melville clôt son cycle Jean-Paul Belmondo avec ce curieux Aîné des Ferchaux… Ensuite, il se tournera définitivement vers le cinéma commercial, même si Le...

Un film étrange, indolent, désincarné, dans lequel Melville semble plus amoureux des paysages qu'il film (l'Amérique, la vraie, la profonde), que par ses acteurs ou son intrigue. Vanel tire (comme...

Je ne suis pas le plus fervent défenseur de Melville, même si je continue volontiers à découvrir ses films quand j'en ai l'occasion. Je pense que c'est un excellent réalisateur, que sa réputation est...

On retiendra la bonne prestation de Vanel et l'assez bonne de Belmondo, même si on leur fait dire des âneries (la réplique en référence à Brutus est à mourir de rire au second degré). Les autres...

Je n'en gardais pas un souvenir génial et, malgré un début plan-plan et vraiment vieillot, le film trouve finalement son style dès que le voyage débute. C'est un Melville assez classique, mais il y a...

Melville mise sur l'atmosphère et ses acteurs pour bousculer les codes du film Noir. Aupoint d'en oublier un peu le cœur filial de son film

La fuite en avant comme seule issue, pour un tête à tête en forme de lutte des castes, révélant la véritable nature des belligérants.

Michel, boxeur sans talent, devient le secrétaire particulier d'un banquier en fuite. Munis d'une valise remplie de dollars, les deux hommes arpentent les Etats-Unis à la recherche d'une hypothétique...