La fuite en avant comme seule issue, pour un tête à tête en forme de lutte des castes, révélant la véritable nature des belligérants.
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Créée
le 17 mars 2025
Critique lue 2 fois
Dans la filmographie de Melville, "L'ainé des Ferchaux" (1963) se situe entre "le Doulos" (1962) et "le deuxième souffle" (1966). C'est un film noir inspiré d'un roman de Simenon que je ne connais...
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le 27 nov. 2021
7 j'aime
4
Après Léon Morin prêtre et Le Doulos, Melville clôt son cycle Jean-Paul Belmondo avec ce curieux Aîné des Ferchaux… Ensuite, il se tournera définitivement vers le cinéma commercial, même si Le...
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le 6 juin 2014
7 j'aime
1
Un film étrange, indolent, désincarné, dans lequel Melville semble plus amoureux des paysages qu'il film (l'Amérique, la vraie, la profonde), que par ses acteurs ou son intrigue. Vanel tire (comme...
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le 9 sept. 2011
3 j'aime
9
Animés par la soif de l'or et liés par le serment des voyous, c'est la chute au jeu des dupes. Dans le piège à loups, dans le cercle rouge.
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le 19 mars 2025
7 j'aime
1
La partition est famillière mais interprétée allegro. Entre musiciens amateurs et virtuoses se compose une ronde étourdissante, enivrante.
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le 19 mars 2025
6 j'aime
C'est en lisant les mots du fils que le père reprend le fil d'une vie interrompue.Un voyage se e d'ambitions, il peut n'être que résurrection.
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le 24 mars 2025
6 j'aime
4
