Le genre d'ouvrage fastidieux à la lecture, mais dont on garde un souvenir riche et vibrant, bien plus fort que le véritable plaisir pris durant la lecture. C'est un peu l'apanage des "classiques" non ?
Créée
le 15 mai 2015
Critique lue 493 fois
1 j'aime
Cet imposant roman de 800 pages nous relate la vie de Modesta. Elle naît en 1900 dans une famille pauvre de Sicile. Suite à la mort de sa mère, elle est prise en charge dans un couvent et l'affection...
Par
le 12 mars 2017
10 j'aime
L'Art de la joie, ou la lecture parfaite de confinement : huit cents pages de lumière pour éclairer un peu ces temps pénibles. Solaire, ce roman l'est dès ses premières lignes, dès ce premier...
Par
le 7 avr. 2020
9 j'aime
Goliarda Sapienza a grandi hors de l'école, dans une atmosphère anarcho-socialiste plus épanouissante que n'importe quelle institution scolaire. Toute son écriture, où fourmille un monde d'idées...
Par
le 22 avr. 2016
8 j'aime
4
Cassez 4 "De sang froid", ajoutez quelques (petites) graines de "Lolita" et fouettez mollement avec tout ce que Philipp Roth a produit ses 15 dernières années. Compilez et diluez sur 800 (800 !)...
Par
le 28 sept. 2014
1 j'aime
Sympa, dans la veine (mais bien en dessous) de Sourire de Loup et du Bouddha de Banlieue.
Par
le 15 mai 2015
Un hommage à un père fantasque et brillant, et un portrait en creux de l'Iran (qui n'est pas sans évoquer Persépolis). Une interview sur Inter m'avait donné envie de le lire, à raison. La...
Par
le 28 sept. 2014
