Dredmor est un jeu extrêmement sympathique. Il reprend les codes du roguelike, genre très punitif. Là-dessus, une couche d'humour assez débile et de références pop trop nombreuses pour être référencées viennent se greffer.
Le tout donne un jeu improbable, un explorateur de donjon qui devient assez ardu dans sa deuxième moitié, et où le communisme ou le tourisme sont des compétences que l'on peut choisir lors de la création du personnage.
Chaque donjon étant généré aléatoirement à chaque nouvelle partie, on peut virtuellement jouer sans fin au jeu. Mais il arrive qu'on sature au bout de quelques heures. Alors on met le jeu en pause pour plusieurs semaines. Avant d'inexplicablement le relancer pour une nouvelle série d'essais souvent infructueux. Et c'est bon!