Alors oui, on peut trouver la dernière partie de l'histoire un peu bancale ou décevante. Mais n'oublions pas que "Sunshine" est un huit clos spatial (seul le plan final du film montre notre planète), où l'homme prend le risque de s'oublier à trop fixer le soleil.
Et puis de toutes façons, je suis complètement esclave du traitement que Danny Boyle réserve au son et à l'image dans ses films. Il y a dans celui-ci des séquences qui m'ont fixé au fauteuil de la salle de ciné au 3/4 vide dans laquelle j'étais, me faisant oublier tout le reste. C'est aussi ça le (grand) cinéma.