Chronologiquement parlant, Sunshine vient après 28 Days later, dans le fond comme dans la forme.
On était donc conscients du "Twist Danny Boyle" qui consiste à démarrer son film d'une façon totalement opposée à celle dont il va le finir.
On était aussi conscients du fait que Mr Boyle est un cinéaste particulier, bourré de talent, touche à tout et profondément à l'aise avec la mise en scène.
Tout ça ne m'a pourtant pas empêché de pas la voir venir ; Cette bonne grosse claque aller-retour dans la tronche. Tranquillement assis dans mon canapé, pestant contre un début plutôt mou et des acteurs peu inspirés, rien ne me préparait à la déferlante que représente la deuxième moitié de ce film.
Anxiogène à souhait, Boyle devait être possédé pour filmer aussi bien.
Vous êtes prévenus.
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