"Tonny, un petit criminel de Copenhague, sort de prison et retourne au garage qui sert de couverture à Smeden, son père dit "Le Duc", qui règne avec brutalité sur un gang. Pour montrer sa bonne volonté, Tonny vole une Ferrari, mais son initiative est accueillie avec colère par son père, qui lui reproche d'avoir agi stupidement.
En même temps qu'il subit les humiliations paternelles, Tonny apprend qu'il a eu un fils. Il n'y croit pas au début, mais finit par se prendre d'affection pour un bébé que sa mère néglige.
Pour gagner un peu d'argent, Tonny s'associe avec un gangster dont la bêtise lui a valu le surnom de "Kurt-le-con". Comme par hasard, le plan de Kurt échoue. Pour gagner du temps et faire croire qu'il a été victime d'un racket, Kurt demande à Tonny de lui tirer une
balle dans le bras et de vandaliser son appartement.."
Comme pour le premier opus de la trilogie Pusher il m'aura été difficile de totalement accrocher à l'histoire (moins que pour le précédent cependant). Il me semble toujours que l'histoire est loin de ce que j'aime, mais je dois avouer que Pusher II est à mon gout mieux écrit et mieux tourné. Je retrouve plus l'esprit de NWR (celui de ces derniers films) tant dans l'ambiance, la photographie que dans la bande son qui devient un peu plus électron, et donc plus à mon gout :)
J'ai aussi trouver plus intéressant le personnage de Mads Mikkelsen qui est très attachant.
Surtout la scène finale que je trouve sensationnel.
Bilan: Nettement mieux que le premier, NWR m'emporte décidément à chacun de ces films. Il me tarde de voir le prochain films!