Le quotidien de cette petite bourgeoise bruxelloise, mis en scène par Chantal Akerman, est rapidement soporifique [19’30].
Ce pensum se termine par la scène de baise la plus ringarde du cinéma [3h01-3h04] et par l’apologie du crime féministe d'un client qu'elle reçoit chez elle [3h05] !
Les amateurs de détails filmiques remarqueront les aisselles non épilées de Delphine Seyrig [09’58].
Lire : Osez le crime féministe !, Monde en Question.
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Créée
le 17 mai 2023
Critique lue 67 fois
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le 19 mai 2020
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le 7 mai 2023
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le 4 juin 2018
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Le film débute par de belles images d’îles irlandaises… pour les agences de voyage. Je crains donc la pire. J’ai rapidement envie d’abandonner car cette histoire d’une fâcherie entre deux amis me...
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