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Que ne fait-on pas sous couvert d'un alibi artistique. Antonioni est probablement le plus décevant par la vacuité de son court métrage. Vient Soderberg et une séance de psy absurde, avant de conclure par Wong Kar Vai qui sauve ce qui peut l'être avec une belle photo et ce qui ressemble à une histoire.
Créée
le 11 sept. 2021
Critique lue 79 fois
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J'aime bien ce genre de concept moi, donner un thème à trois mecs et laisser carte blanche quant au contenu. Le hic, c'est que ça peut donner ce qu'Eros est devenu, un objet rond sur une étagère...
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le 27 sept. 2020
3 j'aime
Concept intéressant, mais où uniquement le premier court métrage celui de WongKarWai aura fait preuve d'un très joli travail comparé aux deux autres cinéaste ayant été à côté de la plaque, et donnant...
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le 15 nov. 2020
2 j'aime
D'abord, il y a l'envie de revoir, tout-de-suite, ce petit miracle qui s'appelle "The Hand", pour vérifier qu'on n'a pas rêvé, et que Wong Kar-Waï, l'immense Wong Kar-Waï, a bien réalisé un nouveau...
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le 15 juil. 2016
2 j'aime
Marathon épuisant à travers une décadence orgiaque reléguant les agapes romaines au rang de rondes enfantines. Confits dans la psychose d'une ambition dévorante, de pathétiques pantins nous offrent...
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le 12 mai 2023
2 j'aime
Ce qui fait peur, c'est la proximité avec la réalité. Nul besoin de forcer le trait sur la bêtise travestie en divertissements sur les écrans , la vacuité toxique des réseaux sociaux, la corruption...
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le 9 janv. 2024
2 j'aime
2h30 d'un plagiat honteux des 3 premiers opus. Un pillage en règle sans aucune idée nouvelle, d'interminables dialogues insipides au possible pour tenter de justifier un scénario foutoir archi-creux...
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le 27 déc. 2021
2 j'aime
