Je serais presque déçu qu’Almodovar ait la palme avec cette autofiction qui n’entrera pas dans mon top 5 des films de Pedro… même s’il la mérite amplement depuis des siècles ! En tout cas, "Douleur et Gloire" a tout de l’œuvre testamentaire, un peu comme le vieux Clint avec "La Mule", mais dans un registre (heureusement) radicalement différent. La partie sur son enfance n’a pas trop d’intérêt et du coup, la double temporalité nuit un peu au rythme du film, je trouve. Mais la façon dont il évoque ses souvenirs d’enfance, son amour é, sa ion du cinéma et la sincérité avec laquelle il met en scène de ses douleurs physiques est assez bouleversante.
Ah, j’oubliais le plus important : Penelope Cruz est toujours aussi magnifique !