"A brain, and an athlete, and a basket case, a princess, and a criminal."
The Breakfast Club, c'est l'histoire d'un rebelle, d'un intello, d'un sportif, d'une fille à papa et d'une cinglée qui se lient d'amitié lors d'un samedi en retenue.
Mais c'est tellement plus que ça.
C'est un des meilleurs (sinon LE) teen movies des années 80 et de nos jours, il reste une véritable référence. Car ce film va sous la surface des stéréotypes des teen movies, en abordant des thèmes comme les problèmes de famille, des thèmes qui nous parlent encore à notre époque. Ces stéréotypes, John Hugues, le réalisateur, les utilise pour les détruire, en nous montrant que chacun est plus que ce qu'il n'en dévoile. Plus que le rebelle, plus que l'intello, plus que le sportif, plus que la fille à papa, plus que la cinglée.
The Breakfast Club, c'est le rire à chaque scène, les phrases balancées par John Bender (Judd Nelson) qui ne manquent pas de nous faire sourire, les cavalcades dans les couloirs du lycée en ce jour de 1984 où cinq élèves si différents deviennent amis. Les caractères si différents des cinq élèves qui donnent lieu à des situations si hilarantes.
The Breakfast Club, c'est quand on chante "Don't you forget about me" des Simple Minds, le poing levé, et qu'on ne peut pas s'empêcher de danser au rythme de cette chanson magique et si indissociable de ce film.
The Breakfast Club, c'est quand on rêve de faire partie de cette bande à part dès qu'on revoit le film, qu'on regrette d'être né si tard et que, dès la fin du film, on a qu'une envie: le revoir immédiatement.
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