Bien que ce soit terriblement prévisible comme la redemption du papa de Sébastien, le charme opère toujours. Thierry Neuvic l’interprète profondément et justement. La scène avec toute la faune (blaireaux, loups, renards…) fuyant l’incendie de la forêt est sublime. Une autre scène en plein cœur des braises est savoureusement empli de tensions et de suspens. Néanmoins, il n’y a plus la magie de leur rencontre, du premier volet et l’intrigue du sauvetage trainasse, étirée en longueur et interminable.
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le 30 oct. 2022
Modifiée
le 30 oct. 2022
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