Belle connerie N°2.

Pour ce deuxième volet on prend le même et on recommence, mais pour le récit on ne prend pas la peine de développer la moindre histoire. On lance une pauvre intrigue, celle-ci se constitue de la perte d'un avion militaire dans lequel se trouvait la nièce du bienfaiteur de Sébastien. Cette toute petite chose déclenche l’histoire, et voici Sébastien parti à la recherche de la jeune fille perdue. Comme c'est destiné aux enfants, on ne fait pas un truc trop compliqué, non tout ce que présente ce film est bien facile et bien basique. Le point positif par rapport au précédent volet est que l’exécrable jeu de Tchéky Karyo n'apparaît pas trop à l'écran et que sa tignasse ridicule du premier film n'est plus présente. Il a bien quelques bouclettes, mais rien d'aussi ridicules que dans le premier film, s'en est presque dommage car c'était vraiment risible. Le gamin est lui toujours aussi mauvais acteur, et l'accent des comédiens qui sont censés être italiens n'a pas une intonation d'italien, c'est un gros accent mal fait et d'un rare ridicule. Ça se veut sentir bon la campagne d’autrefois, celle dans laquelle on faisait griller les saucisses au feu de bois, comme dans un pub Herta, mais c'est totalement fabriqué.

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le 4 janv. 2019

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Heurt

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