Je n’étais pas fan de Linkin Park dans les années 2000, je lui préférais des groupes un peu plus rentre dedans. Je les écoutais en ant mais ça n’était décidément pas ma tasse de thé. Les voilà qui reviennent avec une nouvelle chanteuse, Emily Armstrong et…je n’accroche pas plus, sans doute encore moins que la période Chester Bennington. Oui, ça s’écoute mais ça me semble tellement lisse, tout ça sent le marketing à plein nez, ne surtout déplaire à personne mais avoir un plan de communication en béton armé histoire de présenter la nouvelle chanteuse au public, puis le nouvel album, enfin la tournée des stades…Bon, à force d’en entendre parler, j’ai voulu écouter ce nouvel album qui se veut comme un nouveau départ, histoire de me faire une idée de ce qui ressemblait pour les médias à « l’évènement de l’année ». Mouais, moi je n’accroche pas et il semblerait que le groupe ait quelques difficultés à remplir les immenses salles qui étaient prévues au départ, au-moins aux États-Unis et en particulier à Los Angeles, pourtant presque à domicile. Les 1ers échos disaient pourtant que les concerts étaient bons. Chez nous, ce sera le Stade de rien que ça. Qu’y-a-t-il de sincère dans cette reformation ? Je n’en sais trop rien mais je me suis é cet album en ayant un peu l’impression du même morceau du début à la fin. Pas pour moi…