décevant
Difficile pour moi de comprendre la quasi unanimité critique autour du film de la réalisatrice Carole Vignal dans lequel on suit une femme partie randonner dans les Cévennes sur les traces de son...
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le 20 sept. 2020
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A l’écoute de Urban Driftwood, on regrette presque de ne pas avoir fait connaissance avec la musique de Yasmin Williams plus tôt. On aurait sans doute été sursis de découvrir que derrière ces arpèges de guitares virtuoses se cache non pas un homme à barbe et cheveux gris mais bien une jeune femme afro-américaine de 24 ans qui a débuté avec la guitare électrique avant de cartonner sur le jeu Guitar Hero 2. Aujourd’hui, elle joue la plupart du temps sa guitare posée sur les genoux, pianotant sur les cordes de manière étonnante et utilisant même par moment un archet de violoncelle.
Un profil et un style inattendus pour ce genre de musique et qui donne en tout cas un des albums les plus brillants dans le genre entendus au cours de ces derniers mois. Car la manière de jouer de Yasmin Williams amène de nouvelles sonorités, avec des sons percussifs, de nouveaux accords, à travers des morceaux où le jeu rapide et la complexité se révèlent par moment assez bluffants.
c’est un réel bonheur que d’entendre cette fille originaire du nord de la Virginie jouer ses morceaux aux mélodies virevoltantes et si riches en harmoniques, agrémentées d'instruments africains (kora, kalimba), d’un violoncelle sur Adrift et sur Urban Driftwood de djembe et cadjembe. Nul doute que les fans de William Tyler, Daniel Bachman et Glen Jones y trouveront leur compte.
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Créée
le 10 févr. 2021
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