Sweet home s'essouffle malheureusement au bout de 4 épisodes pour s'enliser dans une narration bordélique, un récit filandreux et un rythme pas toujours bien géré. Le concept de la série n'est hélas que survolé, évoqué (des transformations en lien avec les pulsions/désirs), alors que je m'attendais au contraire à ce qu'il soit bien plus exploité. Reste un trip graphique franchement réussi et entrainant avec des acteurs sympathiques, un p'tit morceau de Corée qui se laisse suivre si on n'a pas d'attente particulière.