Encore un conte moral sur la différence, dans un univers steampunk peuplé de méchants humains et de gentilles bestioles féeriques... Pourquoi pas. Si ce n'est les ailes en caoutchouc, des fées, c'est plutôt bien foutu. Je fais pas la fine bouche, et avant d'écrire cette fois je vais jusqu'au bout.
Mais bon, si je puis dire, on sort les gros sabots. Ghetto, ségrégation, persécutions... Allusion très fine (je plaisante) au communisme en saison 2, final gnagnan à souhait avec sa touche évidemment dans l'air du temps pour contenter toutes les tendances.
Je mets la moyenne pour les décors et Orlando Bloom.
J'ai souvent eu envie de mettre un coup de Baygon sur les trucs qui volent partout, mais c'est parce que je suis taquin.