L’art du plan-séquence.
4 épisodes, 4 plans-séquences.
Mais cette technique, aussi impressionnante que complexe, sert-elle vraiment la narration… ou juste l’ennui ?
Le premier épisode annonçait la couleur : une expérience unique.
Le rythme était frénétique, l’histoire intrigante, les acteurs excellents.
Et puis… plus rien.
Très vite, ça devient long, monotone, presque assommant. Le plan-séquence, d’atout, devient un défaut.
Des scènes à rallonge qui n’apportent pas grand-chose, sinon du contexte qu’on connaît déjà. Des émotions martelées alors qu’elles se suffisaient à elles-mêmes.
Quelques rebondissements, oui, mais à peine effleurés. L’enquête n’avance pas, et on termine la série avec plus de questions qu’au départ.
ADOLESCENCE est une expérience Netflix qui accroche immédiatement, avant de nous laisser en plan (séquence) jusqu’au bout du 4ᵉ épisode, sans jamais réellement développer son histoire.
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