Philippe Besson désacralise la lecture et érige le bovarysme en droit. Avec ses livres, notre imagination enfle, nos nerfs vibrent, notre cœur s’emballe et l’on finit par pleurer (*).
Assumons de lire un roman facile, de se laisser aller à la nostalgie, à la sentimentalité et que peut-être ce n’est pas si anodin.
(*) Le lecteur averti aura compris que je plagie Pennac.
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Créée
le 8 mars 2024
Critique lue 20 fois
Encore un très bel ouvrage de Philippe Besson. Aucune surprise, nous retrouvons ce style très léger et poétique, pour compter une histoire à nouveau personnelle. Une histoire d’un ton d’abord léger...
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le 25 mars 2024
1 j'aime
Ce livre a été pour moi une explosion de nostalgie ; l’odeur du soleil sur la peau, le regard tourné vers l’avenir, le son des vagues, les premiers frissons avec les copines dans les mauvais coups...
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le 14 mars 2025
La couverture est vintage mais le roman date bien de 2024. Une lecture aisée, c’est fluide, sympa à lire et c’est une histoire vécue par l’auteur très bien relatée.
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le 14 oct. 2024
On sort du film secoué après avoir dû assister pendant une bonne heure à la torture physique et mentale d'un groupe de jeunes hommes noirs accompagné de deux jeunes femmes blanches afin d'exacerber...
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le 29 juin 2020
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27/05/2017 Très bon film en rien putassier ni larmoyant. On est loin du cinéma américain. On retrouve parfaitement l’ambiance associative, ses débats, son fonctionnement. L’énergie et la force que...
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le 15 juil. 2017
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Rappelons que pour Philippe de Villiers, scénariste de tous les spectacles, le Puy du Fou aurait bien un usage militant. Il déclare: « Je pense que la métapolitique a plus d’influence que la...
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le 1 mai 2022
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