J'aurais aimé mettre une note plus importante pour rendre hommage à deux supers scènes : la première, la descente de l'escalier infernal avec perdition dans le parking immense (et porte ouverte sur des cadavres en cours de réchauffement haha) et la deuxième, c'est plutôt l'ensemble de scènes où on voit Paris flamber ! C'était très bien fait, on y croirait. Le désarroi général aussi, les gens qui sortent du métro tout ça... Comment on se retrouve après une panne électrique.. Vraiment chouette.
Par contre, voilà, le personnage principal, François, qui me tapait déjà sur le système, a achevé de me consterner quand il s'est mis en tête de devenir le leader de son groupe, avec une vision très personnelle de la reconstruction humaine que personne ne semble contester... Et cette violence oO Ça, le manichéisme de la fin (c'est tout-technologique ou tout-archaïque, il ne peut pas y avoir d'entre-deux !), la misogynie de plus en plus inable (exemple innombrables) tempèrent l'enthousiasme que j'ai pu avoir pour la première moitié du livre. Dommage...