Si vous cherchez l'exemple d'un livre de mille pages qui en compte huit cents de trop, n'allez pas plus loin, vous avez trouvé votre spécimen: Meurtres par rédemption.
Mais quelles deux cents pages sauver? Épineuse question...
Sûrement celles qui décrivent les personnages, leur faiblesse psychologique, leurs parts d'ombre et de lumière. Quant au reste, une avalanche de violence insoutenable qui confine à la nausée et dont le sens s'écharpe sur les récifs d'une répétition radotante et pathologique, le tout confit dans un récit visqueux qui tourne en rond et dont le simplisme relève d'un manque total d'imagination.
Tant pis…
Créée
le 2 janv. 2017
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