C’est bien rude et bien trash, pas du tout « love me tender, my sweety ». C’est la vie vache et merdique. Des choix assumés dans la douleur.
Une séparation qui se e mal et une mère séparée de son fils sous prétextes d’instabilité, d’homosexualité, de raisons incompréhensibles, la lenteur de la justice, les blocages du père… Et la dèche, la loose et une sexualité comme une fuite en avant
Créée
le 20 janv. 2022
Critique lue 119 fois
Bien meilleur que Play Boy même si les romances épisodiques présentent les femmes comme des proies que C. Debré chasse afin de remplir son ego. L’histoire d’une errance, d’un chaos choisi pour se...
Par
le 11 févr. 2020
3 j'aime
Avec son écriture vive, énervée, Constance Debré raconte sa vie sans complaisance et sans pathos. Elle change radicalement: quitte son mari après 20 ans de relation, abandonne sa profession...
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le 7 avr. 2021
1 j'aime
(Note pour moi)La façon objectifiante dont elle parle de ses amantes bof. C'est ça qui m'a derangé et qui a fait que j'ai cru pas aimer le livre au début. On ressent presque une forme de mépris. Mais...
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le 7 déc. 2024
Quel chef d’oeuvre!C’est monstre drôle, absolument actuel, engagé, décalé… Tout y est !Comment rire des codes actuels, des fachos, des politiques, des écolos, des industriels, des média, de la...
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le 5 juil. 2022
5 j'aime
Une enquête énorme, approfondie et glaçante sur l’Église des Saints des Derniers Jours. Son historique, ses dérives et ses sous-branches plus… « intégristes ». Voyage au pays de la foi absolue et de...
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le 3 mars 2022
3 j'aime
Un boomer au pays du wokisme des réseaux sociaux, au milieu des haters, fachos, ultras, blessés et des trolls anonymes ! Une crucifixion (ne pas parler de lynchage) du bien maladroit Jean Roscoff –...
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le 19 févr. 2022
3 j'aime
