Comme la plupart des critiques, je soulignerais la poésie certaine de ce court roman. Son érotisme est à la l'image des belles endormies : à la fois chaste et provocateur. Le vieil homme, donc, vient s'endormir (grâce à des somnifères) dans cette maison close 5 fois, à chaque fois avec une femme différente ce qui ne manque pas de troubler l'hôtesse des lieux. Il revient toujours comme à contre-coeur, un peu drogué à cette introspection sur la vieillesse et sa vie que lui renvoient les visages des filles.
La fin m'a laissé un peu décontenancée, je ne l'ai pas comprise je pense.