J’ai lu beaucoup de cet auteur (la vérité sur l’affaire Quebert, l’énigme de la chambre 622, l’animal sauvage, l’affaire Alaska Sanders) donc je le connais bien …
J’adore le plus souvent ces intrigues, la façon qu’il a de nous mener par le bout du nez bref je le considère comme un bon écrivain.
Mais alors là, ce livre ci … j’en suis resté couac.
On a l’habitude et c’est le seul reproche que je peux lui faire que le début soit toujours lent, parce qu’il y a 2 dimensions : on nous raconte les donut du meurtre et la vie de Goldman, qui nous semble pas lié. Alors que là c’est lié ce qui fait que le défaut que je reproche à Dicker s’estompe.
Et puis l’intrigue …
J’ai pleurer à la fin parce que ça m’a particulièrement touché et vraiment je vous conseille de lire ce livre.
De plus je commencer à être un peu lasse des affaire policière et je trouve que le livre des Baltimores n’est pas de ce genre-ci, mais plutôt un livre à suspens, ce qui fut encore une fois très agréable.
Ce livre nous dépeint une famille pourtant heureuse, mais envieuse. Chacun des protagonistes pensent que l’herbe est plus verte ailleurs. En terminant bien évidemment par le Drame…
Ce qui nous fait nous remettre en question, nous, lecteur, sur la place de nos rêves, de nos ambitions. Mais surtout comment gère-t-on nos sentiments, nos émotions ? Comment gère-t-on notre jalousie, la réussite des autres ? Parce que c’est vrai quand tout le monde réussit à peu près, dans une sortes de normalité, nous sommes tous bien aise, mais lorsqu’un de nos amis, de notre famille réussit particulièrement, quand bien même nous l’aimons, ne serions nous pas un peu jaloux, et notre compétitivité ne serait-t-elle pas décuplé ?
PS: sachez que j’ai quand même beaucoup, surtout grâce à Hillel.