De la bouillie d'idées folles,
De la soupe de haine "réfléchie",
De la purée d'aigreurs ruminées,
De l'élixir de fantasmes ultimes.
Monsieur Camus souffre,
pleure un monde qui n'a jamais existé,
n'existe pas,
et n'existera jamais,
Il est mentalement "grand-remplacé"
et tel une espèce proche de l'extinction, une relique,
trop archaïque, trop fragile,
pour s'adapter, évoluer,
il flippe,
il est perdu,
il saigne,
il hurle,
et attaque,
auto-persuadé que sa fin est dû
à un hypothétique bouc émissaire.
Et bien, vivement la fin !
Que son œuvre se perde en poussière.
Qu'elle pourrisse totalement,
sans se fossiliser, se figer dans la pierre.
Malgré la faiblesse intrinsèque de toute la pensée de Renaud,
sorte de Saint Albert des illuminés 2.0,
Michel Onfray, Alain Finkielkraut,
Michel "Ferdinand" Houellebecq,
et bien d'autres, tels Sylvain Tesson, le facho naturaliste,
"Penseurs" véreux pétris de mélancolie éiste,
"Écrivains" redondants et vaniteux,
"Philosophes" à la petite semaine,
Esprits faussement maniérés et subtils,
Déblatèrent tranquillement,
Débattent benoîtement,
Dans un langage policé, bourgeois,
du bien fondé des lubies théorisées par leur mentor.
Renaud Camus,
deux insultes en deux mots,
la première au visage du poète Séchan,
la deuxième dans la face d'Albert, véritable écrivain.
Les thèses de Camus sont abjectes,
anti-humaines, pro-mort,
et son talent est
incommensurablement,
démesurément,
ridicule.
Il sera oublié, vite, et définitivement.
Monsieur Camus est né trop tard,
Mein Kampf a déjà niqué le game,
Monsieur Camus est né trop tard,
plus personne, ou presque,
ne vit dans son délire "néonaziromantique".
Je souhaite du fond du cœur à monsieur Camus
d'avoir des petits enfants
à l'image de la ,
délicieusement métissés.
Des fils et des filles de métèques que nous sommes tous.