Bien que le premier tiers du roman s'enlise dans des descriptions sans importance (je me suis dit "çà va être "embêtant" mais bon , mon Juju , il doit faire sont quota de descriptions de la flore , de la faune , de la déclivité du terrain et du réseau des confluents de l'Amazone jusqu'à en saigner du nez) , l'intrigue est de plus en plus forte par la suite , donc tout va bien (surtout après cette immense parenthèse ci-dessus).
Un pathos (version Aristote) qui veut mettre une bonne couche d'émotions à la fin. Et Hop ... Une larmichette..
En bonus , Jules nous donne une bonne idée du chiffrage bien avant le premier IBM ou d'Énigma et tout çà avec du papier et une plume et son encre.