En 1961, le narrateur est nommé dans son premier poste d’instituteur, à 20 ans, dans le Périgord, tout près du site de Lascaux, sur la rivière La Grande Beune. En allant acheter ses cigarettes au village, il devient fou de désir pour Yvonne, la buraliste, une reine sensuelle et blanche comme le lait.
«Je ne crois guère aux beautés qui peu à peu se révèlent, pour peu qu’on les invente ; seules m’emportent les apparitions. Celle-ci me mit à l’ instant d’abominables pensées dans le sang. C’est peu dire que c’était un beau morceau. Elle était grande et blanche, c’était du lait.»
Yvonne est déjà prise, par un homme qui la maltraite.
La suite sur mon blog ici :
https://charybde2.wordpress.com/2016/04/17/note-de-lecture-la-grande-beune-pierre-michon/
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 20 mai 2012
Critique lue 729 fois
5 j'aime
1 commentaire
Roman court et agréable, plutôt fin. C'est la première fois que je lis Michon ; ses qualités sont incontestables mais je ne suis pas sûr de correspondre à la sensibilité de son style pour...
Par
le 3 déc. 2017
2 j'aime
1
Publié initialement en 1979, cet essai ionnant de Christopher Lasch n’est pas du tout une analyse de plus de l’égocentrisme ou de l’égoïsme, mais une étude de la façon dont l’évolution de la...
Par
le 29 déc. 2013
36 j'aime
4
«Quand Gorbatchev est arrivé au pouvoir, nous étions tous fous de joie. On vivait dans des rêves, des illusions. On vidait nos cœurs dans nos cuisines. On voulait une nouvelle Russie… Au bout de...
Par
le 7 déc. 2013
35 j'aime
«Aujourd’hui il ne suffit plus de transformer le monde ; avant tout il faut le préserver. Ensuite, nous pourrons le transformer, beaucoup, et même d’une façon révolutionnaire. Mais avant tout, nous...
Par
le 24 mai 2013
33 j'aime
4
