Le cas Werber.

Ok, résumons un peu ce qu'on a, ici ou ailleurs.
L'écriture? NON, Bernard Werber n'est pas un bon écrivain, son style n'a aucun intérêt, est parfois lourd ou maladroit. Il dit ce qu'il a à dire, du mieux qu'il peut.
La documentation? Dire que Zeus est un juge des Enfers dans la mythologie grecque, c'est quand même ne pas savoir aller chercher ses infos. Pas même sur wikipédia.
La philosophie de la chose? "L'amour pour arme, l'humour pour bouclier" "Ce n'est pas la méchanceté que nous essayons de combattre, c'est l'ignorance". Eh, les gars, ça casse pas non plus trois pattes à un canard, hein.
L'imagination? Ah, ça, j'avoue. J'aime bien la manière dont Werber se saisit des figures les plus banales de notre background culturel pour leur donner une autre orientation.

En gros, pour moi, Werber est un mec qui a une bonne intention, mais une exécution assez lamentable. Ca e quand on est jeunes et innocents, mais au bout d'un moment, ça révèle ses faiblesses.