Ce qui est bien avec la littérature, c’est que cet univers est si foisonnant que, même après dix années de lecture compulsive et pas loin de 800 romans lus sur la période, je continue à découvrir de nouvelles plumes et à être emporté dans d’extatiques tourbillons d’émotions. Et aujourd’hui j’ai eu le plaisir de faire connaissance avec Gabriella Zalapì par le truchement de son dernier roman.
Et si Ilaria est court, si la plume de Gabriella Zalapì est épurée et va droit à l’essentiel, sans s’encombrer de fanfreluches, Ilaria n’en reste pas moins un roman qui exalte la sensibilité du lecteur, un roman qui m’a fait er un très bon moment