Un pavé d’Irving de plus. Dévoré avec autant d’enthousiasme que les précédents. Quel est donc son secret ?
Peut-être un talent inégalable pour la mise en scène de personnages aussi originaux qu’attachants, dont on peine à se séparer une fois le livre refermé.
Peut-être cette obsession pour le procédé narratif : d’où l’inspiration provient-elle ? L’imagination surclasse-t-elle l’expérience ? (cf notamment une controverse très intéressante sur Shakespeare en fin de roman)
Peut-être son style bipolaire, détaché et impliqué, naïf et cynique, tragique et ironique.
En tous cas, j’en redemande !