the asocial network
C'est un plaisir de tomber sur un récit d'horreur contemporain qui investit, en le renouvelant, les champs balisés d'un genre considéré comme déé. Dans la forme déjà, ce roman, sous forme de...
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le 17 mai 2025
Eric Larocca est présenté comme le nouvel espoir de l'horreur américain, et même si je peux reconnaître que le bonhomme en a sous la soupape, il est encore loin de remplacer Clive Barker dans mon coeur.
La forme est intéressante, le récit n'est qu'un ensemble de mails et de chat sur internet entre deux femmes que tout oppose, mais qui vont s'attirer mutuellement jusqu'à ce que l'une commette l'innommable, sous l'endoctrinement de l'autre.
Comment quelqu'un peut prendre l'ascendant sur une tierce personne sans jamais l'avoir rencontré ? C'est la question que pose ce court roman, ou cette grosse nouvelle, qui se lit rapidement et avidement, tant on veut savoir la chute, même si on la devine. Et c'est bien son problème : Larocca pose les bases mais ne va pas bien loin. On aurait aimé une plus grande intensité, ou une plus longue introspection narrative. N'est pas Matheson qui veut ...
Créée
le 3 juin 2025
Critique lue 1 fois
C'est un plaisir de tomber sur un récit d'horreur contemporain qui investit, en le renouvelant, les champs balisés d'un genre considéré comme déé. Dans la forme déjà, ce roman, sous forme de...
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le 17 mai 2025
L'horreur, ce n'est pas toujours des amas de chairs mutilées jonchant le sol d'une cuisine un soir d'automne, ni l'irruption spectrale d'une entité revancharde dans un manoir ancien qui pue le moisi...
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Ah Bruno Mattei ! On s'ennuie jamais avec lui : il reprompe tout pour un budget minimal. La musique de Zombie des Goblins, les stocks-shots animaliers pour grossir la pellicule et arriver péniblement...
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le 13 sept. 2024
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Bresson tente de saisir l'ambiance hippie du début des 70's à Paris et en devient de plus en plus inaccessible, avec des comédiens au ton faux, des dialogues sans relief. Cette romance sans issue est...
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