Ces derniéres années, les dystopies se sont multipliées. Comme toujours quand il y a beaucoup d’appélés, il y a peu d’élus, qui parviennent à se faire une place. Partials y parvient !
La guerre contre les Partials a eu des conséquences regrettables. Ces être génétiquement modifié, créés pour aider les humains, mais qui se sont retournés contre eux, ont décimés quasiment tout la population mondiale. Il reste à peine 30 000 humain. Pire, les enfants, depuis maintenant 11 ans, meur systématiquement 2 à 3 jours aprés la naissance, victime d’un virus nommé « le RM ». LE gouvernement en place n’a vu qu’une solution : obligé les jeunes femmes dés 18 ans, à avoir des enfants tout les ans en espérant qu’un d’eux survive et soit immunisé. Mais les Partials ne sont-ils pas la solution ?
Bien entendu, on se retrouve dans un monde qu’on ne voudrait pas vivre. Mais là où mes autres romans du genre, souvent, sont peut-être plus ample, proposant de nombreuses scènes d’actions, Partials prend souvent le temps d’exposer ses recherches, celles de Kira, pour trouver une solution au problème du RM. Ecrit en chapitre souvent assez court, le livre se lit à toute vitesse tant il est simple de s’impliquer et de s’identifier aux personnages de l’œuvre, parfaitement écrits pour qu’on puisse s’identifier à eux. Alors certes, on a droit à quelques ages obligés : Des clans rivaux, un personnage principal qui va découvrir un secret qui pourrait tout changer, et des trahisons.
Mais les ages obligés ne sont aucunement négatif quand ils sont bien intégrés, de maniére fluide et cohérente, au récit. Et c’est le cas dans Partials, qui offre suffisamment d’avancé dans son intrigue pour donner envie de lire une suite qui, au vu de ce final, ne semblera probablement pas forcé. Partials est une excellente surprise pour moi, qui n’était que moyennement emballé par sa couverture. Ce qui se cache a l’intérieur est infiniment plus réussis !