SoundtraX

Annotation :

La BO se compose essentiellement de morceaux très axés Punk (When I Close My Eyes I See Blood de Madelyn Von Ritz mais surtout le Lion Share de Germ) ou rock (It's So Easy et In The Heat Of The Moment by Willy Deville, Hypnotize de Cripples et l'inclassable mais ô combien génial Lump de Mutiny.

Pour compléter le tout, la partie orchestrale (à la limite du sound-effect) du talentueux Jack Nitzsche (The Exorcist) achève de donner une texture sonore se mariant incroyablement au sujet principal.

Annotation :

Je n'ai jamais été fan de manga, mais lorsque j'ai vu le trailer en salles en novembre ou décembre 1996, les images + la musique (puisqu'il n'y a aucun dialogue dans la BA), j'ai eu la certitude que j'irais voir ce Ghost in the Shell (dont je ne connaissais rien) !

"Making of Cyborg" est tellement parfait que le reste de l'OST auarait pu petre pourrie que ça n'aurait rien changé !

L'entame avec le tintement, puis les choeurs accompagnés de pulsations, wow !!
Je l'écoute en écrivant ces quelques mots et j'ai beau le connaitre par coeur, j'en ai des frissons !!

Mystique, métronomique, mélancolique, magique..., cette mélodie de Kenji Kawai me saisit à chaque écoute !

Le reste de l'album est exactement à cette image, avec certains morceaux plus contemplatifs que d'autres, mais toujours avec une profondeur splendide !

"Ghosthack" est plus méditatif dans son approche quasi-hypnotique, parfois traversé de sons discordants amenant une aura un peu plus sombre, plus mystérieuse, plus...dangereuse !

Encore plus méditatif est "The Puppetmaster", tout comme l'étrange scène qu'il illustre...
Ici, le mystère s'épaissit et l'hypnose de ce fameux hacker de fonctionner à tous les niveaux.

"Ghost City" est la séquence qui a été retenue pour le trailer telle quelle et à l'instant, je revois tout ça en l'écoutant !
Ce sentiment de temps qui s'arrête, les gouttes de pluie, le chien a l'air triste, les néons, l'avion qui rase les toits...
Putain, c'est beau !

Annotation :

Dépité de ne pouvoir obtenir les droits de l'excellent album-concept de Gustav Holst "Planets", Nicholas Meyer engage le jeune Cliff Eidelmann et lui donne une simple indication: "inspire-t-en !".
C'est ainsi que le sublime Main Title est un superbe hommage au mpuvement "Mars" du Holst, alors que le reste de la B.O oscillera entre drame et action, avec un "End Title" rendant justice à l'immortel thème original d'Alexander Courage sonnant comme un adieu pour la team originelle (ce qui fut le cas, puisque dernier film avec Shatner et Cie tous réunis) avant de repartir vers Holst.

Bref, grandiose !

Annotation :

Friedkin + Nitzsche = le top (voir Cruising).

L'OST du film est certes un patchwork de divers artistes mais c'est bien Nitzsche qui lie le tout.

Son "Iraq" est à ce titre emblématique (les accords stridents lugubres d'un violon semblables à des râles gutturaux précèdent le plus spirituel appel du Muezzin) et pour qui connait le film, c'est le frisson assuré...au contraire du galvaudé et surestimé Tubular Bells (entendu une paire de secondes dans le film, avant d'être repris après le dissonant mais terriblement efficace "Fantasia For Strings de Hans Werner Henze.

Exceptées mes réserves sur le Mike Oldfield (plus "disco" qu' "horreur psychologique"), je chéris cet étrange objet sonore où l'inquiétant "Five Pieces For Orchestra, Op. 10 d'Anton Webern joue des coudes avec le sombre "Polymorphia"

Annotation :

Horner se recycle un peu ici et là (des traces de Wolfen et ST II) car les 6 semaines promises par la production pour composer la musique devinrent 2 semaines.

Cameron rejeta plusieurs pistes et obligea Horner à ré-écrire plusieurs morceaux, mais ce dernier va créér un morceau anthologique, qui sera utilisé par une multitude de bande-annonces (Alien 3, mais aussi Timecop, Broken Arrow, Dante's Peak et même Misery !!), le donc très fameux "Bishop's Countdown".

https://www.youtube.com/watch?v=NlzkGd7qaMY

Cameron réutilisera quelques portions de l'OST de Goldsmith pour le premier film (qui lui eut aussi maille à partir avec Scott) et fera écrire quelques bribes par des compositeurs non crédités.

Le compositeur coupa alors les ponts d'avec Cameron et ce, pendant presque 10 ans, à l'occasion de Titanic.

Qui qu'il en soit, l'OST sera quand même nominée aux Oscars 1986 !

Annotation :

Elliot Goldenthal.

Opéra funèbre orchestré durant les émeutes de L.A en 1992 ( suite à l'affaire Rodney King), cet Alien 3 est d'une rare complexité où la musique n'accentue pas l'émotion, mais EST une émotion !

Dès l'entame du film, le très explicite Agnus Dei résonne comme un chant funèbre, aidé par la voix enfantine de Nick Nackley.De fait, ce premier morceau illustrant le générique d'ouverture annonce déjà la couleur: ce film sera un écrin funèbre pour tout le monde !

Cet album propose beaucoup de morceaux où la musique se fait menaçante

Annotation :

En attendant qu'un guerrier se charge de rajouter l'album Esper Edition (le score complet de Vangelis), je me dois de mettre les 2 versions ici présentes.

Pourquoi ne rcréée-je pas cela ?

Parce que mothafuckin Musicbrainz !

J'ai essayé 2 fois il y a quelques années et c'était tellement fastidieux que j'ai vite abandonné...pfff !!!

Annotation :

A film épique, score épique !
Milius vit juste en engageant Basil Poledouris, car celui-ci livra tout simplement une OST très opératique, donnant encore plus de prodondeur au film !

Anvil of Crom est un hymne guerrier figurant le Conan devenu adulte, alors que Riddle of Steel est l'une des perles de cette OST: Poledouris basa sa mélodie sur le Dies Irae et transposa des chants anglais en Latin approximatif, plus soucieux du son que ceux-ci dégageaient que de leurs sens mais qu'importe, c'est beau, pognant et sauvage !

L'autre morceau de bravoure est The Kitchen /The Orgy avec ses choeurs funestes allant crescendo.

Je ne m'étendrai pas sur les autrs istes car c'est un tout homogène et grandiose !

Annotation :

Schifrin est un compositeur so 70's !

A lui seul, il représente le jazz-blues dans e monde des compositeurs..., et c'est d'ailleurs là sa limite.

Ici, Dirty Harry bénéficie de son immense talent:

-le Prologue / Swimming Pool installe direct une ambiance sombre avec les cloches funestes qui se fondent dans un son strident, suivi par un battement de coeur irrégulier, celui de Scorpio qui va commettre son premier meurtre et la voix éthérée représentant la victime.
Bref, mais puissant !

Puis vient le Main Title très engageant tellement jazzy que ça donne la bougeotte, avant de se terminer sur une note plus sombre.

Ça pète comme thème !

Harry's Dog semble être un joyeux interlude au milieu de tout ça, avec sa trompette vitaminée.

AApèrs une chanson mélancoloqiue, vient Scorpio's View, entêtant en diable et coiffée de la même voix éthérée du prologue..., menant évidemment à une autre victime !

le reste de l'album est à l'avenant, atmosphérique en diable !

Mais lorsque Sudden Impact se rpésente en 1983, son style se doit de changer et..., son OST est tout sauf géniale comme l'est ce Dirty Harry et sa suite Magnum Force...

Annotation :

Ici, Big John se fait plaisir et invite sur son OST Anthrax, Steve Vai, Buckethead et Cie our nous livrer un score rock du plus bel effet et donnant au film son atmosphère si bizarre !

Le morceau-titre annonce la couleur du reste avec un superbe solo de Vai sur une ligne de basse hypnotique: génial !

"Love Siege change de tonalité avec une atmosphère plus sourde, avant de s'accélérer en milieu de morceau.

"Fight Train" s'emballe assez vite avec une batterie ressemblant à un mitraillage lors d'une exécution, ça pète !


"Slashing Void" est assez lancinant...et languissant, le morceau le moins réussi à mes yeux...

"Kick Ass" est vraiment top avec son entame lente puis avec des cordes plus aigues qui commencent à pencher vers le wawa; donnant un tissu d'étrangeté à l'ensemble, avant d'exploser en riff violent !
It kick ass, mothafucka' !!

"Power Station" est bien plus atmosphérique, avec son rythme lancinant, saupaudré d' accords électriques montant crescendo...


"Can't Let You Go" est plus "classique" dans son écriture, et ça en fait à mes yeux l'un des morceaux les moins énervés et le moins réussi aussi...

...alors que "Dismembered Blues" est plus atmosphériques avec une note de euh..., ben de blues, quoi !

"Fighting Mad" n'est pas le plus top non plus, assez simpliste dans son écriture...

"Pam Grier's Head" (très fun ce titre se référant à l'actrice et non à son perso !) a un quelque chose de plus fun dans son approche, plus rythmé, plus rock, ya kno..?

Quant à Ghost Poppin'...Il déchire sa race, mec !! Batterie énervée, guitares...électriques et rythme cool ferme avec bonheur cette OST finalement plutôt cool !

Annotation :

Trop souvent oubliée au profit de l'OST de Back to the Futiure dans la carière de'Alan Silvestri, cette OST est tout simplement excellente.
Revisitant son travail sur le film de McTiernan, Silvestri magnifie sa partition en la rendant plus ample, plus dramatique et en rajoutant un élément nouveau: le son tribal !
Ainsi dotée de furieuses envolées

Annotation :

Cliff Martinez (déjà à l"oeuvre sur l'excellent Traffic) se retrouve aux commandes (sonores) de ce film et laisse éclater tout son savoir faire.

Baignée par un tempo électronique assez mélancolique (rappelant le meilleur de la synthwave), cette OST apporte une gamme d'émotions très variées (mais souvent sombre) à ce récit où la douleur et la colère (compréhensible) du personnage principal est l'élément moteur du film.

Un peu oublié, martinez mérite pourtant que l'on se penche (au moins) sur cette BO franchement excellente.

Annotation :

Faisant fi des années Disco (Friday the 13th Part III) ou des partitions orchestrales à la Williams (E.T), Cameron engage un obscur compositeur du nom de Brad Fiedel.

Celui-ci va donc se pencher sur ce qui parait être une série B de plus mais - sous l'égide d'un Cameron omniprésent - il va réussir à mélanger une tonalité mécanico-électrique (Main Title, Terminator Arrival, Tunnel Chase...) à des plages bien plus intimistes et/ou dramatiques (Sarah On Her Motorbike, Love Scene, The Coming Storm...).

En bref, cette OST hybride va donner son identité même au film.

Annotation :

L'une des plus belles OST de Horner où il saupoudre des mélodies et choeurs Natifs Amérindiens, donnant un certain mysticisme et une splendide couleur ethnique seyant fort bien à cet excellent film !

Parfois, au milieu de flûte (de Pan ?) se glissent quelques notes métalliques sombres mais Horner n'utilise jamais la sonorité des Natifs comme un gros bourrin, non !
Il les utilisent avec intelligence et parcimonie et c'est là qu'éclate son talent: il se sert de ces sonorités pour raconter les images, non pas pour donne un côté culturel mainstream...

Annotation :

Qui d'autre que Badalamenti auarait pu illustrer de cette manière le calvaire de cette pauvre Laura ?
ant du bucolique "Best Friends" au dark/jazzy Pink Room, d'un Sycamore Trees assez désespéré au franchement flippant "Black Dog Runs At Night", Badalamenti and friends nous livre une pièce très diversifiée où toute une palette d'émotions s'offre à nous...

Excellent !

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C'est beau et poignant...
...comme le film !

Les notes de piano mélancoliques et les airs de flûtes poignants de Morricone virevoltent et figurent ce pauvre chien élevé par Donald Fuck.

Dès l'entame, l'on sait déjà que ce film sera dramatique jusqu'à la fin..., ce qu'il est réellement !

D'ailleurs, le End Credits me déchire toujours le coeur et ce, même en écrivant à l'instant que le End Credits me déchire toujours le coeur, car finalement, Donald Fuck a gagné: des personnes sont mortes à cause du chien et le chien n'est plus à cause de Fuck...

Mieux vaut ne pas être déprimé en écoutant cela, car ça n'aidera pas votre esprit à s'échapper dans la bonne direction...

Mais c'est beau et poignant...
...comme le film !

Annotation :

Sûrement l'une des plus belles compositons du regretté Goldsmith avec ces sonorités riches et complexes.

A ce titre, le "Main Theme" est juste magnifique, pleins de sombres promesses avcec un côté très sensuel, caressant vos oreilles comme le claotis des vaguelettes au bord d'une rivière (oui, tout ça !!), avant de tourner vers un côté plus dramatique et violent sur la fin.

Le reste de l'album est peu ou prou du même tonneau, ce qui n'est pas rien, quoi !

Annotation :

Ma première approche de cette OST s'est faite via cette cassette audio (que j'ai encire, si je ne m'abuse...) et même si l"interprétation de Vangelis par ce The New American Orchestra n'est pas toujours très fidèle, ça m'a au mons permis de révéler mon intérêt pour les OST !

Annotation :

Je ne reviendrais pas sur le morceau-titre plagiant grandiosement une chanson de l'infect Huey Lewis (qui se crût une star mais ne le fut jamais), mais surtout:

- le sublime "Magic" de Mick Smiley (qui m'a d'ailleurs aidé à emballer une de mes ex),
- mais aussi l'éminemment sympathique "Cleanin'up the Town" par The Busboy (ceux-là même qui chantaient "Boys Are Back in Town" dans le diptyque 48 Hrs.),
- le rythmé "Saving the Day par Alessi
- ainsi que deux pistes issues du score d'Elemr Bernstein.

Annotation :

Après la très chouette SDTX du premier film, celle-ci est encore mieux, rythmé par des morceaux de hip-hop bien travaillés comme:

- "We're Back !" et"On our Own" de Bobby Brown,
- la chanson titre by Run DMC,
-et l'excellent "Spirit" by le légendaire Doug E Fresh & The Get Fresh Crew,

mais aussi un morceau de pop rock:

- Glenn Frey et son "Flip City".

Très chouette compil, en vérite je vous le dit !

Annotation :

Alors avec cette OST, c'est quelque chose.

Eloignée à mort des autres soundtrack 007 avec ses sonorités métalliques maritimes, cette OST réussit bizarrement à se couler dans le moule de bond en lui apportant quelque chose de..différent, oui !

Alors quand on écoute l'excellente chanson-titre par la grande Tina Turner puis qu'on continue le film avec le son Serra..., ça n'a rien à voir et donc, n'a aucune cohérence comme les précédentes OST de 007.

Pourtant, j'aime quand même cette anomalie musicale Bondienne, parce que hey !, je fais ce que je veux !

Annotation :

Que dire de plus que je n'ai dit dans l'OST de Dirty Harry ?

Ben rien, c'est quasiment aussi bon !

Annotation :

Danny Elfmann s'est fort bien débrouillé sur cette OST et a su insuffler une identité propre au film de De Palma.

Dès l'entame, "Sleeping Beauty" ravit avec ses instruments savamment dosés pour donner un putain de suspens pour cette séquence d'ouverture !

Puis vient le "Main Theme" réactualisé et là, wow, c'est géant !!! Total respect pour le travail de Lalo Schifrin, man !

Les pistes suivantes sont à peu près du même acabit, donc on peut dire que Elfman a fait un boulot remarquable !

A noter que l'OST prévue originellement avait été composée par Alan Silvestri et celle-ci avait aussi une chouette qualité, mais malheureusement, cette dernière n'est pas répertorié sur SC.

https://www.youtube.com/watch?v=gum6bQoZOTE&list=PLsR1TWq-eGPzMddlZjar8menJ--oQjHuV

Annotation :

Les Newton Brothers jouent souvent d'une ligne de basse sourde réverbérante, en rajoutant des textures un peu plus hautes comme "Moving In".

"The Mirror" est un thème plus aérien avant de bifurquer vers une sorte de battement cardiaque bref, donnant ainsi vie à cet objet.

"Oculus" qui clôt le film est une sorte de mélodie organique prenante avec quelques bouffées d'air très brèves...mais il existe une version chantée et la voix de Greta y fait des merveilles !

Annotation :

Alors à noter, qu'ici je aprle de la version complète de l'OST avec ses 23 pistes, pas celle présente sur le site.

Ne serait-ce que pour l'hymne national US se terminant par l'écran statique de la TV, cette OST mérite l'écoute.., parce que m'on sait ce qu'il va y avoir derrière la neige sur l'écran !

Mais The Calling ne démérite aucunement avec ses sons distordants illustrant la venue d'une chose de l'au-delà...

La piste 3 contient en partie la magnifique berceuse servant de thème pour Carol Ann, qui se transforme en mélodie guillerette?

Avec toujours en filigrane le theme de Carol Ann, The Tree y rajoute quelques notes un peu moins joyeuses car après tout, cet arbre aura son heure de gloire...

Evidemment, "They're Here" se pare de tonalités angoissantes et mlystérieuses, s'autorisant même à convoquer le thème de Carol Ann pendant un bref instant, histoire de lier et la fillette et ces manifestations surnaturelles...

TV People va dans la même direction, alors que Twisted Abduction mélange les genres entre dissonances flippantes et mélodie légère...

The Jewelry est un peu plus classique dans son écriture, même s'il joue habilement avec le theme de Carol Ann en le déformant insidieusement.

Le reste de l'album est à l'avenant et fait de ce Poltergeist l'une des plus belles réussites de Goldsmith.

Annotation :

A comparer avec celle de Poledouris, ce R2 n'en a ni le côté chevaleresque ni le côté émotionnel..., mais pourtant, cette oeuvre de Rosenman colle comme une seconde peau au film de Kershner...et je n'y verrai pas la musique de Poledouris à la place !

Pour sûr, le emc qui va au ciné en 1990 et entend cette musique, c'est "what the hell is that ?" dans sa tête.

Mais pourtant, l'étrange sonorité du travail de Rosenman fonctionne très bien avec les images qu'il illustre.

Annotation :

Ah, toutes ces chansons baignant dans un Disco / Rock (parfois latinos), c'est beau comme tout !

De Debby Harry avec son inoubliable Rush Rush (the Yeyo) au rocky Pusing to the Limit de Paul Engemann, à la mélodie vacancière de Vamos a Bailar, de la mimi (enfin, avant sa chirurgie) de l'actrice (et donc chanteuse) Maria Conchita Alonso (la Leona de Predator 2 ou la love interest de Penn dans Colors), ça swingue de partout et chaque chanson rappelle la scène particulière où celle-ci est apparue !

Annotation :

Encore une belle partition cérébrale du regretté Jerry Goldsmith, avec son propre thème pour ST accolé à celui des Klingons...

Un régal pour les oreilles et ce, sans même voir le film !

Annotation :

Très chouette OST avec des thèmes très reconnaissables comme le prologue, le rat qui fait flipper April (non pas Splinter, le petit...), le générique d'ouverture, l'excellent Shredder Suite...

Plein de bonne humeur mais aussi de phase plus mystique ou sombres, ce TMNT illustre parfaitement ce film avec ce pitch incroyable et insensée !