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Non seulement ce film de Friedkin est excellent/trouble et mystérieux (qui est/sont donc le(s) tueur(s) ???), mais d eplus la BO est renversante !

Friedkin a parfaitement su retrnascrire l'année 1980...mais celle underground, avec des chanteurs ou groupe lojn du mainstream avec Willy DeVille et son "Heat Of The Moment", "Pullin' My String" et son définitif "It's So Easy", les punks de The Cripples et leur sombre "Loneliness" et "Hypnotize", le très coquin Spy Boy de John Hiatt, le sanglant When I Close My Eyes I See Blood de Madelynn Von Ritz, le funky-sexy-naughty Lump de Mutiny, Rough Trade (Shakedown), les énervés de chez Germs avec Lions Share restituent fidèlement ce que les gays cuir-et-moustache entendaient dans les clubs undergrounds du fameux Meat Pack.

Friedkin n'avait pas que l'oeil, mais il avait aussi l'oreille (voir la BO de The Exorcist pour s'en convaincre)...

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Sûrement mon album préféré de MJ.

Peut-être parce qu'il est sorti au début de mon adolescence et que j'ai vu 1000 fois les clips...
Ou alors parce que c'est à ce moment-là que j'ai enfin pu saisir ce qu'était une star...
Ou tout simplement car cet album me semble être le meilleur !

D'entrée, Jam réveille les oreilles avec son rythme syncopé ou le timbre plus bas qu'à l'accoutumée de MJ.

On y croise aussi le très chouette Drive Me Wild, le mélancolique Who Is It (et son magnifique clip by David Fincher), le sensuel In The Closet feat. Steph' de Monac', l'électrique Give It To Me et le (tellement) sous-estimé Dangerous, donnant son titre à l'album.

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Hors idéaux et/ou points de vue de certains de ses membres que je ne partage absolument pas, je me dois d'inclure deux albums de Mayhem dont celui-ci.

Ce premier album officiel (sans Dead, puisque mort bien avant, mais dont la majorité des titres sont de sa plume sombre) peut s’enorgueillir de posséder quelques perles dans son genre comme l'atmosphérique et formidable The Freezing Moon, le sépulcral Funeral Fog et le sublime Life Eternal !

Certes, Attila Csihar n'a aucunement le désespoir lugubre de Dead, mais il donne quand même une chouette interprétation des morceaux.

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J'ai vaguement découvert Pantera au lycée, mais c'est une paire d'années plus tard que j'ai eu trouvé cet album chez mon père (il l'avait acheté par erreur). Première écoute: c'est brutal et bruyant.
Seconde écoute: damn, c'est plutôt chouette !!!

Après Rage Against The Machine (l'album homonyme des RATM, donc), voilà que j'explore plus en avant le rock via le heavy metal, ce qui m'ouvrit la porte à l'oeuvre globale de Pantera, puis de Sepultura puis Mayhem...

A peine le CD démarre que la violence de Strenght Beyond Strenght saute aux oreilles. Ce titre s'attaque à l'American Way of Life en mettant en scène le narrateur (Anselmo from Hell) qui s'oppose à cette masquarade via une explosion de rage (after coke)...

Le reste de l'album est à l'avenant avec le brutal Slaughtered, le nihiliste Good Friends and a Bottle of Pills, l'entêtant Shedding Skin...
Un grand album pour sûr !

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Que dire..?

J'ai découvert Miles par hasard en tombant sur la K7 de ce chef d’œuvre (première fois que je donne ce qualificatif pour quelque chose) lorsque j'étais minot (entre 11 et 14, je ne me souviens plus exactement).

So What ?
So What coule comme une douce rivière courant au milieu des Alpages: c'est beau, c'est frais et ça vous enveloppe d'une onde de bienfait.

Même "punition" avec l'excellent Freddie Freeloader, le magnifiquement mélancolique Blue in Green, l'hypnotique All Blues et bien sûr l'inimitable Flamenco Squetches...

En fermant les yeux, je peux presque m'imaginer être au Village Vandguard sur la 7th à Greenwich Village, un cigare dans une main, un Brandy dans l'autre et me laisser porter par la mélodie...

Miles et ses amis: que du bonheur...pur bonheur !!!

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Pour moi, c'est l'album de la maturité, avec son chapelet de chansons inoubliables.
D'ailleurs, je crois que c'est le premier album que j'ai acheté et ai donc réécouté 10.000 fois (ou plus ?).


Si je devais choisir les meilleurs titres, ce seraient

-"The Changeling"
-"Love Her Madly"
-"Cars Hiss by My Window"
-"The WASP (Texas Radio and the Big Beat)"
-"Been Down So Long"
-"Riders on the Storm"
-"L'America"
-"Hyacinth House"
-"Crawling King Snake"
-"L.A. Woman"

Quoi ? C'est l'intégralité de l'album ??? Ah bon ! Alors, tout va bien...

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Ayant grandi avec les films et OST de John Carpenter et ayant accroché au train de la synthwave grâce au film The Guest et son OST de malade, je ne peux qu'être séduit par cet excellent Rage Road du duo Cremet /Bandry !

De l'ambiance mélancolico-dark, du rythme, de belles mélodies et le tout s'écoute sans même voir le film !

En un mot comme en 100, putain, j'adhère (ou j'adore ?) !!

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Voyons voir...j'ai découvert RATM (le groupe) avec le clip de Freedom vu que (très) peu de temps auparavant, j'vais vu l'excellent film de Michael Apted Thunderheart, adaptant le fameux incident de ine Ridge où un certain Leonard Peltier fut condamné 2 fois à vie pour le meurtre de deux agents du FBI (mais si on tue 3 hommes, deux femmes et deux enfants, on sort au bout de 20 ans quand même...En quoi 2 connards du FBI valent mieux que quiconque ???)
On s'égare...
Bref, découvert donc contemporainement et aitmême encore la K7 audio !

Freedom bien sûr, mais aussi Bullet in the Head, Fistfull of Steel, Wake-up...
Que de la chanson qui tue avec l'excellent bassiste Timmy C., le guitariste magique Tom morello, le batteur Brad Wilk et bien sûr, le frontleader Zach De La Rocha !

KNOW YOUR ENEMY !!!

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Voilà comment j'ai rencontré Jim Morrison (bien que j'avais sûrement entendu un titre ou deux à la radio, car à l'époque j'écoutais encore la radio !) et indirectement, le sulfureux Heroin de Velvet Underground.

Merci Canal + pour avoir diff le film et puis merci à Firenze (Italia) où j'ai acheté (ou racheté, je ne sais plus) cette B.O en K7.

Plus tard, je devais acheter tous les albums parce que...why not ?

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Friedkin a fait preuve de génie en refusant le travail de Lalo Schiffrin et en se la jouant à la Kubrick: illustrer son film avec des morceaux pré-existants (excepté quelques thèmes by Jack Nietzche) pour décupler la force des images.

Ainsi, le ton est donné avec "Iraq", les dissonants cris d'un violon se termine par l'appel du muezzin, soit l'exact opposé en terme de sens.

Pour le reste, j'en ai déjà parlé plus longuement dans une critique dont voici le lien:

https://senscritique.voiranime.info/album/The_Exorcist_Bande_Originale/critique/86706363

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Outre le fait de me rappeler au bon souvenir d'un ami disparu (Manu...) mais aussi d'une partie de ma vie, cette compil est juste exceptionnelle !

Non content d'enchainer les morceaux avec brio (l'ami de Lio), Trance Traxx 2 présente les plus beaux morceaux de trance de l'époque.

Un léger parfum mélancolique s'en dégage et les belles mélodies de dégager un parfum relaxant en diable...

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Est-il encore besoin de présenter ce classique intemporel ?

On n'aurait pu choisir meilleur titre pour cette œuvre en quatre mouvements.

Il va de soi que chaque saison reflète des émotions différentes, parfois contrastées au sein même d'un mouvement.

Ainsi dès l'entame, il est possible de ressentir différemment l'Allegro et Largo e pianissimo sempre au sein même du mouvement "Printemps", par exemple.

Relaxant, magnifique douceur pour les oreilles (et l'esprit), ces Quattro Stagioni ont toujours bercé mes journées.

Si je devais n'en retenir qu'un, ce serait l'Estate Presto (l'été III) qui a accompagné la création de mon premier roman, il y a de ça .. ans.

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1992 fut donc une très grande année musicale pour moi: non seulement il y eu Dangerous de MJ, Love Symbol de Prince et enfin ce live de 82 qui sort enfin de sa tanière !

Que ne l'ai-je écouter cette K7 (que j'ai peut-être encore dans mon bordel) ! C'est mon frère qui m'avait initié à ce groupe dans les 80's mais là, c'est moi qui ai franchit le pas en l'achetant, ce live !

A mon humble avis, le meilleur live de Trust, en fait !

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Ici, Amane présente un album très atmosphérique (encore, devrais-je dire, puisque le travail de Cédric Cremet - en duo avec Leandre Bandry ou en solo - ,est toujours empreint d'une cérébralité prégnante) faisant parfois ressembler cette oeuvre à un croisement entre l'univers de Blade Runner, celui de Ghist in the Shell version Kawai et l'OST rejetée de Supernova de Burkard Dallwitz, avec ses mélodies contemplatives nimbées de mystères...

https://www.youtube.com/watch?v=EIlLosG8L-k

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Sorte de Dark Opera écrite pendant les émeutes de 92 à L.A, cette B.O transpire le désespoir et la fatalité. C'est donc magnifique.

D'entrée de jeu, Agnus Dei (le Jour de l'Agneau) est un sombre joyau annonçant déjà l'inéluctable destin de Ripley.

On retiendra aussi Beast Within qui souligne l'horrible vérité:: he's back ! Aussi le Wreckage and Rape, la Death Dance et bin sûr l'Adagio final.

Un diamant noir toujours aussi percutant 28 ans plus tard !

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Exit Csihar, Euronymous et son assassin neo-nazi Varg Vikerners (officiellement Louis Cachet maintenant, vivant dans le Limousin !!), le nouveau line-up de Mayhem ne conserve que Hellhammer (encore un bel exemple, celui-là...) et Necrobutcher.

Anyway, ça n'enlève en rien la qualité de cet album. L'on remarque d'ailleurs que le style a évolué vers quelque chose de...neuf !

Maniac remplace Csihar et ma foi, on n'y perd pas au change, en fait.
Les expérimentations diverses (chants doublés "normal/démoniaque") et les différentes ruptures de ton donnent le "la".

C'est d'ailleurs via la version live de To Daimonion qui m'a fait connaitre Mayhem, il y a presque 20 ans.

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Tiens, on est encore en 1992 (donc en plein Dangerous de MJ) !

Début d'adolescence aussi où je rencontre enfin frontalement Prince avec son Sexy M.F et Cream.

Bien sûr, je connaissais déjà son Kiss mais aussi Batdance (j'ai même eu le 45T fut un moment) mais now, j'ai enfin un album complet à me mettre sous la dent (pour les plus jeunes, pas d'internet à l'époque alors prière d'acheter la K7 audio pour le Walkman).

Bref, un autre grand moment Pop très sensuel avec The Purple Prince...

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Je ne sais pas si c'est grâce à Colors, New Jack City ou Ricochet, mais c'est bien l'un de ces trois films qui m'a fait connaitre l'ami Tracy voilà...bien longtemps, je vous le dit en vérité !

Quoiqu'il en soit, cet album est top avec que du bonheur comme The Tower, Midnight

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Cette OST est très cool et suggère une ambiance sombre, relevant bien sûr de la synthwave d'artistes comme The Perturbator, lui aussi français d'ailleurs !

Le duo Cremet /Bandry continue dans son exploration musicale electro-ambiant, si je ouis qualifier ainsi cet album (ou LP ?)....

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(The Definite Edition)

Remarquable B.O o la créativité l'emporte sur le budget.
En effet ici, le thème principal est celui de l'antagoniste, soit le Terminator. Mêlant les allégoriques battements de cœur à une sonorité métallique, le Main Title est glaçant d'efficacité.

The Arrival est tout aussi glaçant avec son souffle lugubre et son heartbeat qui enfle lentement, figurant la menace qu'est cette apparition venu des Ténèbres...

...d'où la rupture de ton totale avec le Sarah's Theme, bref et lumineux, presque champêtre !

Puis vient Tech Noir /Alley Chase o la menace enfle à nouveau, dans un crescendo métallique du plus bel effet avant de changer brusquement de tempo.

J'en retiens enfin Tunnel Chase où on réutilise les heartbeats pour muter soudainement en une rythmique étrange où percent de lugubres envolées synthétiques.

Un must !

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Ah, le gabber !!!

C'est au lycée que j'ai fait connaissance avec ce genre très particulier (en même temps que le trash metal via Pantera, d'ailleurs) et ce live 96 en est le parfait représentant.

Avant de sombrer - et d'être récupéré un temps par des groupuscules neo-nazis -, le mouvement gabber n'avait d'autres intentions que de rallier la jeunesse "rebelle" sous la bannière du "enjoy the music and people".

Et en effet, dès l'entame on n'a qu'une envie, c'est de se déchainer sur le dance-floor !

Ce qui m'a amené à explorer le gabber via les mythiques Thunderdome donc, mais aussi Nightmare in Rotterdam et autres Terrordrome...

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Rollerball...

C'est en effet grâce au Rollerball de Norman Jewison que je fus introduit (très tôt) à cette fameuse Toccata e Fugue en D mineur BWV 565.

Ce n'est que bien plus tard que je m'offris enfin la pièce complète, que je découvris donc dans son insolente intégrité.
C'est ce qui me familiarisa aussi avec la musique pour orgue, que je croyais uniquement destinée aux offices religieux.

Me reste plus maintenant qu'à pouvoir l'écouter en live...

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Co-érit par Cédric, un membre de SC -, cet album atmosphérique brasse un peu les genres avec "Aurore" et "Eclipse" qui sont dans la mouvance minimaliste de Philip Glass alors que Prisme pencherait un peu vers la synthwave.

Très agréable à l'écoute, je dois dire !

Annotation :

Fort possible que je préfère cette B.O à celle du premier, car véritable mine de chouettes chansons !

La chanson-titre relookée par Run DMC ne manque pas d'allure, mais mon cœur balance plus entre l'excellent On Our Own de Bobby Brown, le Spirit d'un des pionniers du hip-hop soit Doug E. Fresh ou même le Flip City de Glenn Frey. Cela dit, il y a encore We're Back du même B. Brown qui vaut le détour.

Plutôt chouette en fin de compte !

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K7 aussi, pour ce grand classique où se retrouvent (presque) toutes les chansons entendues dans le film (ainsi que quelques extraits de la B.O d'Elmer Bernstein).

C'est surtout le Magic de Mick Smiley qui m'a toujours fasciné, tout comme (dans une moindre mesure) le Savin' The Day.

Il y a bien sûr la chanson-titre, mais après avoir appris le fond de l'histoire de celle-ci...

Annotation :

Découvert grâce à Crϵϵping Dϵα♰h, cette multI-instrumentiste/monoband qu'est Yxxan rappelle de par sa hargne (et son talent) le tristement célèbre Varg Vikernes a.k.a l'omnicient créateur/auteur/musicos de feu Burzum.

Alors pour comprendre les paroles ben...faut être suèdois (norvégien, aurait dit McReady...) ET être capable de décrypter les borborygmes rageurs de la chanteuse orchestre...ce qui dans mon cas est total néant !

Mais Yxxan (d'Yxan = hache en suèdois) se dit "Militant Anti- Christianity" et fustige autant les églises que les religions qui ont soumis les Pays Nordiques lors de la Christianisation de l'Europe, somewhere in time...