Année 2025: Jeux

Annotation :

Malgré des animations fluides et un gameplay sympathique, la structure qui nous bloque à un âge précis après la mort d'un boss m'a déjà fatigué. Rajoutez le gameplay parfois peu précis (notamment dans les combinaisons avec le joystick haut bas) et un univers de vengeance art martiaux qui me parle pas plus que ça, et ça donne un abandon assez rapide...

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J'ai laissé un peu le jeu reposer avec de laisser un avis: résultat, j'en garde un très bon souvenir. Sur le moment, le jeu est vite répétitif, mais est justement fait pour de petites sessions. Au-delà de ça, les missions sont cools, avec 3 sortes d'ennemis différents, le sound design est incroyable et la musique est top. Les attaques aériennes sont également très jouissives à mettre en place et je suis très motivé à continuer sur le long terme pour débloquer de plus en plus de moyens de destruction.

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Un party game qui me fait désormais mélangé tout ces clones à la "Phasmophobia", "Content Warning" ou "Lethal company". Ces jeux coop où on se fait poursuivre par des entités random en récoltant du stuff me fatiguent. Ici il n'y a même pas de mécanique drôle comme dans les autres: c'est juste un énième clone à la DA complètement fade. C'est donc parti sur un remboursement. La jaquette du jeu aurait du pourtant me mettre la puce à l'oreille...

Annotation :

Joué environ 30 min à la campagne, qui est assez difficile. Les pré-réglages graphiques m'ont donné du fil à retordre. Malgré une difficulté qui lorgne du côté du réalisme et donc la nécessité d'ouvrir chaque angle, les ennemis restent très cons et toujours à la même place. Ce qui donne un die and retry pas très intéressant, avec un sound design bof bof.

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Un party game / puzzle où il faut se coordoner pour résoudre de petites énigmes. Le concept est rigolo 20 min et suffisament segmenté pour se permettre de courtes sessions. Mais ça reste très répétitif et simpliste, avec une musique assez pénible qui tourne en boucle.

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Un jeu narratif où l'on joue un agent "opérateur" aidant les agents sur le terrain lors de ses premiers jours. L'histoire est intriguante et le gameplay, au fond très simple point and click, donne tout de même l'impression d'être un hacker au commande d'un ordinateur très sécurisé. Si on regrette le manque d'embranchement et de réelles conséquences sur les choix, il y a certains moments de grâce. J'ai par exemple raté l'occasion de désamorcer une bombe, dans un moment stressant où un manuel devait être lu très rapidement. En a résulté la mort de l'agente de terrain que j'avais à la radio: le moment a été impactant et assez mémorable. Les phases de transition où l'on rentre chez soi, décrit un travers un flou mystérieux, fonctionnent aussi très bien et ajoute à l'ambiance mélancolique du titre.

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Un jeu très court (à peine 10 min) où l'on dirige une mouche qui s'en va s'écraser sur un objet inconnu. Le final est marrant mais ça très minimaliste et finalement assez vain.

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Deuxième extension du jeu mais qui se finit complètement en premier si l'on choisit (comme moi) de tracer d'abord dans l'histoire de Saga. Quel plaisir de retrouver l'architecture brutaliste de Control, l'univers du FBC et l'ambiance tellement mystérieuse qui entoure tout cet univers. La connection entre les deux jeux est très réussie et la dimension picturale apporte une véritable nouveauté par rapport au jeu de base. L'histoire du peintre Rudolf Lane est terrible et ajoute à l'horreur de l'ensemble. On apprécie aussi le teasing pour Control 2...

Annotation :

Première extension du jeu, avec trois histoires distinctes: un shoot them up d'une serveuse de café, les aventures de Jesse de Control dans un parc d'attractions dédié au café et le voyage dans le multivers d'un policier. Seule la dernière est véritablement intéressante, avec des changements de graphisme et même de medium, en mode comics. Le tout est suffisamment intéressant pour être fait mais ne laissera pas un souvenir impérissable.

Annotation :

Commencé le 3 janvier 2025, je suis enfin arrivé au bout au mois de mai.

Les +

- Une ambiance folle, que ce soit le côté "Control" avec ses entités étranges et son esthétique retro-brutaliste que l'aspect "Twin Peaks" et ses mélanges entre cabane dans les bois américains, cinéma aux grands rideaux rouges et inquiétante forêt de pins.
- Des graphismes magnifiques avec un niveau de détails fou. Chaque pièce est savamment pensé et permet une immersion totale.
- L'histoire double qui apporte de la diversité dans les environnements traversés.
- Les moments WTF, qu'ils soient musicaux ou perturbants,
- Les rappels à Control qui construisent un univers cohérent et ionnant.
- Un sound design vraiment très soigné.

Les -

- Le gameplay de manière générale: pas forcément très intéressant, peu précis dans l'esquive, et répétitif. On est quand même loin de Control en terme de fun. Les boss sont vraiment pas ouf du temps et m'ont motivé à er en difficulté "histoire".
- L'histoire parfois confuse, qui rend la progression pas toujours très gratifiante.
- L'aspect "enquête" de Saga, avec son tableau et ses indices, qui finalement est très linéaire et ne fait absolument pas appel à notre réflexion.
- Les puzzles avec la lumière, pas très intuitifs et pas très intéressants.

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Un petit jeu d'une dizaine de minutes, basé sur une nouvelle de Lovecraft. On y incarne un type perdu en mer et qui se réveille dans un désert océanique, peuplé de poissons échoués, de calamars et de dieux-poissons vénérant un monolithe. Pas de déplacement ici: tout est en "point and click". L'ambiance est sympa, mais niveau gameplay ça reste très sommaire, comme au niveau de l'histoire, qui m'a rappelé que je ne suis définitivement pas un grand fan de l'univers de Lovecraft, qui me semble toujours trop détaché de la réalité et grandiloquent.

Annotation :

On retrouve l'humour de Valve, toujours aussi efficace, avec un robot particulièrement et extrêmement bien animé. Au-delà de ça, le jeu est court (30 min) mais suffit amplement pour son gameplay assez simple. Les environnements sont magnifiques et continuent de tirer sur le liminal. Les transitions wtf avec les mante-religieuses et la fin en chanson ajoutent également à la bizarrerie de la chose.