Papo & Yo
6.6
Papo & Yo

Jeu de SCE (2013PlayStation 3)

Papo & Yo & Luuula

Petit jeu sympathique mais pas transcendant comme il aurait pu l'être, Papo & Yo propose une ballade de deux-trois heures dans une ville d'Inception. De casse-tête en casse-tête, de sauts en sauts et de poursuites en poursuites, on traîne Monster on ne sait où, on suit une petite fille mais on ne sait pas pourquoi.
Ce qui fait ce jeu, c'est son propos, certes, mais la poétique n'est pas suffisante ; dommage.
6
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Des jeux vidéo autobiographiques (?!)

Créée

le 30 janv. 2014

Critique lue 265 fois

1 j'aime

slowpress

Écrit par

Critique lue 265 fois

1

D'autres avis sur Papo & Yo

Le désamour d'un père

(…) On ne sait sur quel pied danser au moment d'aborder Papo & Yo. Si le thème du jeu est novateur et son ambition louable, le choix de révéler d'emblée l'envers du décor dans une dédicace explicite...

Par

le 20 sept. 2012

7 j'aime

3

L'art de la métaphore subtile.

"Quand on veut faire er un message, on a tendance à l'énoncer trop clairement, et, du coup, peut-être que la créativité, l'originalité en souffrent." Naoki Urasawa Voilà tout le problème de Papo...

Par

le 9 août 2014

5 j'aime

"Luuuuuuuulaaaaa ? Lula ? Luuuulaaa ?"

Pour une fois, je vous le demande sincèrement : ne lisez pas les autres reviews qui spoilent sans le vouloir, et ne cherchez AUCUNE info sur l'origine du jeu. Car sinon, vous allez vous gâcher le...

Par

le 24 avr. 2013

5 j'aime

1

Du même critique

Carrie au bal du diable
10

If you want some terror, take Carrie to the prom

Ceux qui me suivent depuis un moment savent que je m'intéresse de près à la figure de la femme dans les films d'horreur : le genre dans le genre comme dirait Superjèr. (Ceux qui ne le savent pas le...

Par

le 22 oct. 2014

58 j'aime

12

Une femme sous influence
10

La mort du cygne

Quelques femmes, dans l’univers, virevoltent au ralenti, les bras lourds tentent de faire s’envoler le corps par la grâce. Mabel est l’une d’elles. Personne ne veut danser - les costumes-cravates...

Par

le 8 août 2014

54 j'aime

8

Une nounou d'enfer

Déjà, Terminator premier du nom était sexy avec ses lumières bleues et son synthétiseur. Je m'étonnais moi-même de ne pas cracher sur Schwarzy et je fondais comme une petite fille devant Sarah...

Par

le 8 mars 2014

49 j'aime

7