Je ne vais pas épiloguer trop longtemps. Cependant, 2-3 petites choses semblent essentielles à dire sur Life Is Strange.
Une histoire ionnante et touchante qui – selon moi – ne partait pas forcément de la meilleure manière. En effet, en étant totalement if sur la globalité, on peine initialement à s’attacher au personnage et j’avance sans trop vraiment me sentir concerné par ce qui se e à Arcadia Bay.
Cependant, et ce, à partir de l’épisode 3, je me suis senti immergé dans cette complicité entre Chloé et Max et son scénario. Le fait qu’on ait la possibilité de changer la phase du monde, qu’on nous fasse hésiter (souvent) de nos choix en nous faisant comprendre : « Si tu veux, reviens en arrière pour éviter ça ! ». Cette fin d’épisode 3 a été l’un des plus gros malaise vidéoludique que j’ai pu connaître. De ce fait, à ce moment-là, le jeu gagne en prestance, en immersion et en intérêt pour terminer sur un final avec un choix cornélien. Un grand moment.