20 000 lieues sous les mers.
Rapture...
Le problème quand on est pas un grand bourgeois, c'est qu'on joue au jeu 2 ans après les autres et que les avis et les critiques nous donne déjà un aperçu du jeu qui peuvent nuire et parasiter l'immersion dans celui-ci.
Faudrait pas lire les critiques certes...
Avec bioshock je partais donc avec l'assurance d'un jeu d'exception. Je n'en fût point déçu.
L'entrée dans la ville sous marine nous donne tout de suite la confirmation que l'on à mis la main sur quelque chose. Du Game design, à la musique, l'ambiance et aussi le sentiment que les développeurs ne nous prennent pas pour des cons respirent dans ce jeu.
Sander Cohen... Andrew Ryan, Atlas. Des personnages profond et inoubliable qui donnent vie à cette ville de folie. Qui se servent de nous comme un pantin docile.
La rencontre des BIG Daddy et de leur petit soeur, rencontre qui se solde par la perte de tout votre stock de munitions. et par un choix cornélien.
De bout en bout je ne me suis pas ennuyé.
Malgré un IA ennemi un peu bourrine, des plasmides inutiles ou déséquilibré, c'est le plaisir qui est ressenti tout le long de l'aventure. Et une fois fini, le sentiment d'avoir participé à un grand jeu reste, et le désir d'y retourner.
Merci les gars et les filles.
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