Les feuilles au vent et les racines frémissantes...

En fait voilà.
Malick a une façon de filmer si particulière que ses images sont plus grandes que l'écran, avec une profondeur bien plus intense que dans tous les systèmes 3D de la planète, és, présent ou futurs.

Pour le reste, y a a peu près tout ce que je déteste:
de la bondieie dégoulinante, des plans "Arthus-Bertrand"-like, d'autres issus de la dernière pub Vania-pocket, des voix-off, des soleils couchants et autres procédés honteux.

J'ai adoré.

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le 13 oct. 2011

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guyness

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