This is not a murder. This is an intervention.
Sincèrement on peut dire ce qu'on veut sur l'industrie du ciné en , mais il faut au moins lui reconnaître un truc : quand un film US arrive en direct-to-dvd, c'est jamais, mais alors jamais, sans raison.
La critique du jour ? The Nines, qui n'est pas é par la case sortie en salles chez nous. Oui, regarde en bas, j'ai mis trois.
Ça aurait pu vraiment être sympa à quelques détails près ceci dit ; non mais trois fois rien. Si le scénario avait été compréhensible, si les effets visuels ne m'avaient pas fait vomir dès leur apparition, si j'avais eu quelque chose à branler des personnages...
Même si il avait été bon, Ryan Reynolds n'aurait pas pu sauver le film : ça tombe bien haha, il est mauvais. Mais reste le meilleur acteur du film. Et il est drôlement beau gosse ; si vous êtes amoureuse de Ryan Reynolds regardez le film, c'est un régal pour les yeux. Le total-package : visage en trois exemplaires (classique, lunettes, barbe), fesses, abdos, biceps, regard charmeur ou mutin, répliques romantiques... Moi ça me laisse de marbre, dommage, j'ai raté le principal intérêt du film.
Et alors bizarrement, j'ai envie de vous dire que c'est mauvais avec le plus d'adjectifs possible, mais j'ai même pas la force d'ouvrir mon dico de synonymes. Toute force vitale qui résidait autrefois en moi a été balayée par la médiocrité du « spectacle » que je viens de voir.
Un feel-blasé* movie en quelque sorte.
*en anglais dans le texte, j'ai vérifié dans mon Hachette Oxford va z'y tu crois quoi