L'histoire d'un scénariste des années 50 soupçonné d'être communiste et menacé d'être mis sur la liste noire, mais qui va avoir un accident de voiture lui faisant perdre la mémoire. Il est alors recueilli par les habitants d'une petite ville, où un père reconnaît en lui son fils, disparu au combat durant la Seconde Guerre mondiale. Ensemble, ils vont réhabiliter une ancienne salle de cinéma, The Majestic. En résulte un mélodrame un peu trop désuet et peuplé de longueurs, mais pas désagréable pour autant, notamment grâce à Jim Carrey, excellent dans un rôle à la James Stewart. Il faut tout de même avouer que Frank Darabont signe avec cette œuvre son film le plus faible.