Il y a un petit moment je déplorais sur les réseaux sociaux que Spielberg ne tourne pasu n film intimiste. Parce que c'est bien joli les courses de voitures, les requins et les dinosaures mais ça n'est pas que ça le cinéma.
Et on m'a renvoyé à The Fabelmans qui raconte de manière formidable comme un petit garçon a voulu devenir réalisateur.
La mise en scène est éblouissante, les comédiens incroyables et Spielberg fait de la dentelle.
Sur le fond, une réflexion discrète sur la capacité des images à dévoiler le réel ou à le travestir et la responsabilité de celui qui filme.
C'est un très beau film que j'ajoute à mon Panthéon intérieur.