Le film commence très fort avec des scènes de toute beauté, d'une poésie rarement atteinte en ces temps modernes pour ce qui n'aura, au final, qu'un lien métaphorique avec le reste du film.
Mais je m'égare. Le film est divisé en deux parties, la première est dans une vaine réaliste dans laquelle on suit trois femmes sans vraiment comprendre les enjeux et la deuxième est à la limite du fantasme. La première partie est assez frustrante du fait qu'on ne voit pas pourquoi cette partie existe, quel intérêt à montré une vieille morue complètement sénile étant amie avec une grosse vache qui se fait "courtiser" par un peintre raté, ayant une servante qui e les remarques racistes de sa "maîtresse", qui veux retrouver son ersatz de Crocodile Dundee mais qui clamse comme une merde avant de le revoir (le respect est mort) ?
La deuxième partie vient faire comprendre les enjeux de la première partie, ce pourquoi un deuxième visionnage serait préférable pour totalement comprendre l'oeuvre (à moins d'avoir une bonne mémoire).
Mais pour peu qu'on s'y intéresse, c'est une oeuvre belle et fascinante qui s'offre à nous.