Julie, rescapée du premier volet, remporte un voyage aux Bahamas, là-bas, le cauchemar recommencera.
Ce nouvel opus s'inscrit malheureusement dans une veine d'une indigence scénaristique affligeante, ressassant avec une paresse créative notoire le poncif éculé d'une cohorte juvénile lycéenne offerte en holocauste ludique à un antagoniste obscur.
La caméra, avec une lubricité déplacée et un parti pris esthétique discutable, s'attarde avec une insistance lascive sur les attributs physiques de jeunes femmes avantagées par la génétique, les sublimant avec une prédilection marquée pour leur exposition à l'humidité.
Cette séquelle superflue et débile, dépourvue de toute velléité d'originalité, s'enlise dans une bêtise abyssale, dont l'un des sommets paroxystiques est atteint lors d'une séquence où l'héroïne, d'une crétinerie confondante, commet une bévue géographique élémentaire en attribuant fallacieusement Rio de Janeiro comme capitale du Brésil, au lieu de Brasilia.
Bref, l'ensemble de cette production cinématographique exhale un parfum tenace de vacuité intellectuelle et de mercantilisme opportuniste.