Seul face au soleil : solis. Hé ben ouuuai.

On sent nettement que l'acteur principal et producteur, a voulu se faire plaisir au détriment du reste du monde. En tous cas, du monde des spectateurs. Tout devient inable rapidement : le jeu forcé de l'acteur unique du projet, la voix-off à la radio de sa correspondante, le cadavre (qui a du couté cher) que l'on voit sans cesse à ses côtés, la musique exagérée et hors sujet qui en fait des tonnes pour sauver ce film mais qui en rajout une couche, elle aussi est surjouée, Le décor unique sans aucun organe de pilotage ou de navigation, le soleil (piqué à la NASA) éblouissant, on s'en doute, et enfin, surtout à ne pas manquer la fin ! Ce film ne cesse de finir en fait, la fin commence dès le début, une catastrophe, oui oui !


On se demande comment il survit jusqu'à la fin, les yeux brûlés par la lumière (3 étoiles pour ce maquillage uniquement), mais il résiste (prouve que tu existes).


Non, vraiment, ez votre chemin tant la déception est immense comme l'espace.


Dernier conseil : si vous voulez découvrir comment on faite de vrais petits bijoux sur le même principe, je vous conseille The Call et The Guilty. Bien au dessus.

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le 7 mars 2019

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Franck Brémeault

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