L'histoire de cette jeune fille, abandonnée par les institutions, est édifiante.
Mais, bien qu'elle mette en lumière de gros dysfonctionnements du système, ceux-ci ne sont pas le reflet des prises en charge habituelles. Les décisions, réactions, procédures décrites dans le téléfilm sont questionnantes : s'agit-il d'erreurs de scénario ? de manque de travail du réalisateur en amont ? En effet, il est pointé des erreurs de l'ASE (service public) or, à plusieurs reprises, il est bien spécifié que la famille était suivie depuis des années par les services d'AEMO (organisme habilité associatif) qui connaissaient la famille : tout sauf l'ASE donc, quand on est un minimum renseigné.
Je trouve dommage de venir mettre en lumière ces incompétences majeures sans rappeler la véritable organisation des services de protection de l'enfance, et de tirer sur l'ambulance.
Créée
le 25 nov. 2024
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1 commentaire
Histoire incroyable qui montre bien l'incompétence du système français face à la maltraitance des enfants . Une femme courageuse (magnifiquement interprété par Cécile Bois) seule contre ce système...
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le 21 nov. 2024
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Dur d'expliquer 10 ans de souf en 90 mn. Le film prend des raccourci mais arrive à montrer les failles d'un système apathique. Quand les victimes ne sont que des dossiers à classer, ASE,...
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il y a 4 jours
Au-delà des faits qui sont terribles c’est une nouvelle fois les institutions qui sont à décrier, complices mais jamais coupable…
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le 15 avr. 2025
mais cela n'est pas possible.2 jours après le visionnage je ne comprends toujours pas le concept et je m'interroge sur la nullité et la platitude de tout ce qui fait ce film : pas d'intrigue, des...
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le 10 mars 2025
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Le personnage principal (et le héros) de ce film est sans aucun doute le médecin oncologue, pour les autres vraiment aucun intérêt tant la platitude est présente.
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le 19 oct. 2022
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A chaque fois je me dis que je vais arrêter de lire ses bouquines....et à chaque fois je me fais avoir. Parce qu'en fait oui, je confirme, on ne perd rien à ne pas lire du Musso, j'ai une fois de...
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le 20 mai 2016
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