Des images, des dessins devrais-je dire,
comme des coups de poing:
les hordes des assassins nazis en chevaliers teutoniques,
ou en adhérents du Ku Klux Klan,
dans tous les cas qui font froid dans le dos...
Et aussi des dessins – oeuvres purement artistiques -
comme ces lettres qui s'envolent du cahier d'Anne,
pour devenir son amie imaginaire,
qui redevient en ces spirales magnifiques les lettres du cahier...
De façon brève, mais éloquente,
le journal intervient dans le sort des migrants,
ce qui semble-t-il, dérange beaucoup de critiques du film...
Peut-être sont-ils trop envahis par un monde où la quotidienneté
de la médiocrité l'emporte sur l'imaginaire de l'artiste...
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