Le film est à l'image de son générique : celui-ci reprend des tapisseries et autres tableaux avec des chien pour l'illustrer, mais sur fond de soupe auditive d'un compositeur trouvé au rabais (Joel Goldsmith, fils de...) et sur un montage à base de zooms rapides : le fond est intéressant mais la forme est cheap.
Le film oscille donc entre un Beethoven pour la forme et un Dressé pour tuer pour le fond. Ici, le thème des expérimentation animale et de la vivisection étant traités. Quelques images sont d'ailleurs assez dures et je ne pensais pas qu'un film mainstream aborde cette thématique, et d'ailleurs la nuance aussi via quelques dialogues. Toutefois le film est sans génie dans son scénario, dans sa mise en scène dans sa direction d'acteur, mais le film se tient tout de même et se regarde sans déplaisir.